Atteindre des sommets en 2017
L’année 2017 a commencé depuis 10 jours et je reviens écrire ici après deux mois d’absence. A cause ou grâce à cette absence, vous n’aurez pas de bilan de l’année 2016 qui vient de s’écouler, pas de « je vous souhaite une super méga bonne année youhou » même si on a tout le mois pour le faire.
Ooh quoi ? Comment ce n’est pas sympathique ? 10 jours sont passés ! C’est bon, on est passé à autre chose, comme… manger notre 4ème galette des rois en moins d’une semaine et tiens, ils ont vraiment mit un perroquet sur la couronne cette année ? Je m’égare.
Et puis, quoi se souhaiter en 2017 ? A part plein de bonnes choses ? Ah si, je sais !
En 2017, je vous souhaite et je me souhaite d’atteindre des sommets !!!
Il y a les sommets de la vie personnelle et puis il y a les vrais, ceux de la montagne. Alors ce sera au choix. Selon si ce sera de saison ou non.
Quand j’ai fait le best nine d’Instagram début décembre, c’est devenu évident. Tellement évident que je ne l’ai même pas posté. Ce que j’ai aimé partagé avec vous en 2016, c’est la montagne.
Car elle est devenue mon lieu de vie, mon nouveau terrain de jeu, ma nouvelle passion. La montagne en 2016, je l’ai vu en couleur et en noir et blanc. Je l’ai parcouru en randonnant sous un soleil écrasant ou sous la pluie, en raquettes ou en baskets. Si ce derniers parcours réalisé en baskets est parce qu’en 2016, nous l’appelions « randonnée » et que désormais en 2017, nous l’appellerons promenade. Je découvre tellement d’autres parcours et que celui-ci est très facile.
Il y a eu des belles journées accompagnées et des plus solitaires qui forgent le caractère et puis la neige…
Il y a eu la neige de début novembre 2016 et puis il y a celle de début janvier 2017. Celle qui est là en 2017, celle qu’on attendait en 2016. Celle qui nous a tous fait glisser ce matin dans le premier virage. Celle qui nous dit que ça y est c’est peut être une nouvelle période qui commence…
Celle du ski, celle des raquettes et puis bientôt celle des baskets parce qu’à 17h il faisait encore jour finalement. Celle du soleil écrasant et celle sous la pluie. Celle des journées accompagnées et puis celles des plus solitaires. Celle qui forge le caractère et puis… celle de la neige.
L’année 2016 m’a permis d’apprécier et d’apprivoiser la montagne. La montagne ou la vie ? Qu’importe c’est le même sang. L’année 2016 m’a donc permis de gravir à ma manière des sommets, avec mes jambes ou avec ma tête. Des petits sommets à faible dénivelé pour me préparer aux plus grands et pour être sûre d’y arriver. Il y a ceux que j’ai commencé à grimper en 2016 et qui auront leurs derniers passages techniques en 2017.
On y vient au bilan finalement. Tout est recommencement. La vie ou la montagne ? Grimper… puis redescendre. Redescendre pour mieux remonter la pente. Grimper à nouveau et atteindre le sommet. Celui qui nous fait penser qu’arrivé en haut, le ciel sera dégagé et qui nous fera sourire. Et dire wahou c’est chouette !
En 2017 je me fixe des sommets à atteindre. Oh pas des grands, pas des monstrueux. Juste ceux qui me font rêver…
Bonne année…